Accueil Course au large  Transat Jacques Vabre

Les premiers milles de la Transat Jacques Vabre ont été très spectaculaires pour les trimarans Ultim, ces géants de 32 mètres juchés sur leurs foils, lancés dans les embruns.

Une vidéo inédite signée Gilles Martin-Raget en témoigne. Elle est magnifique. La voici.

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Le tout nouveau SVR-Lazartigue de François Gabart pendant le départ. Mais tous les Ultim sont dans cette vidéo à grand spectacle. | GILLES MARTIN-RAGET

Bruno MÉNARD. Modifié le 09/11/2021 à 10h03

Des embruns, de la vitesse, des trimarans géants lancés, qui volent entre ombres et lumières sur leurs foils et appendices porteurs.

Magnifiques images et belles sensations, hier dimanche, au départ de la Transat Jacques Vabre donné devant Le Havre, avec un premier bord spectaculaire sous les célèbres falaises d’Étretat.

Depuis, la pétole est tombée sur la flotte au niveau de la pointe de Bretagne et la flotte est au ralenti.

Raison de plus pour prendre du plaisir en revenant quelques heures en arrière pour deux minutes et trente secondes de grand spectacle capté par Gilles Martin-Raget.

LA VIDÉO ICI :

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https://voilesetvoiliers.ouest-france.fr/course-au-large/transat-jacques-vabre/video-transat-jacques-vabre-deux-minutes-spectaculaires-avec-les-trimarans-geants-64123f34-407e-11ec-a39a-c04580a10b44?utm_source=sendinblue_vv_newsletter-voilesetvoiliers&mgo_eu=&mgo_l=K1sOO0yrTEy3MjJAKpbRgg.31.4&utm_content=20211110&utm_campaign=vv_newsletter-voilesetvoiliers&utm_medium=email&utm_term=856001&vid=4254871&mediego_euid=4254871

On y voit les cinq Ultim filer haut sur leurs foils, à grande vitesse.

Avec les nouveaux SVR-Lazartigue de François Gabart et le Banque Populaire XI d’Armel Le Cléac’h ou encore le Maxi Edmond de Rothschild de Franck Cammas et Charles Caudrelier, le Sodebo de Thomas Coville, l’Actual d’Yves Le Blevec.

C’est la première fois dans une grande course au large que ces trimarans volants se mesurent.

Les images donnent une idée du combat extrême que peuvent se livrer ces bateaux capables de dépasser les 45 nœuds mais surtout de tenir de très hautes moyennes pendant des heures et des heures.

Un sport extrême, réservé à une poignée de marins qui tentent de maîtriser ces monstres, les voiliers océaniques les plus rapides du monde.

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