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Le 4 juillet 2016, Dominig quitte le port de Paimpol à bord de Solent Spirit, un Southerly 110 sous pavillon britannique.
Une belle journée de navigation en solitaire s’annonce à destination de l’île de Bréhat.
Mais dix minutes seulement après avoir pris le départ, son bateau est pris dans un courant traversier et s’échoue… sur les cailloux !
Le bateau bien posé sur la semelle en fonte dans laquelle rentre la quille. Spectaculaire ! | SNSM
Dominig AR FOLL avec Itzel MARIE DIAZ. Modifié le 02/06/2022 à 20h55
Témoignage. J’ai découvert la voile, comme beaucoup, par le biais de l’Optimist.
J’avais 11 ans et mes parents venaient de déménager, tout en restant dans le Finistère, de Scrignac vers Fouesnant, soit de la campagne au bord de mer.
Lors de mon premier jour en Optimist, la découverte de cette liberté, cette possibilité d’aller où on voulait avec la simple force du vent, reste toujours un de mes meilleurs souvenirs.
Même 50 ans plus tard. Petit à petit, j’ai progressé sur l’eau, passant du 420 au 470.
En mer, les bateaux sur lesquels je navigue sont toujours dans un état impeccable.
Je ne pars que lorsque tout est prêt et fonctionne comme il se doit.
Je ne fais pas partie des gens qui cirent leur teck mais en revanche, au niveau sécurité et de l’équipement, tout est toujours en place, en parfait état.
Devenu adulte, j’ai acheté un Océanis 31 pour aller un peu plus loin et naviguer seul.
Mais l’Océanis n’était pas assez costaud pour les mers du Nord qui m’attiraient.
J’ai donc cherché un bateau avec un faible tirant d’eau, qui soit isolé et où les quarts puissent se faire au chaud à l’intérieur. J’étais prêt pour un Southerly !
Pour lire la suite ? TÉMOIGNAGE. « Je me suis planté sur des cailloux » (ouest-france.fr)
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