Le numéro « spécial salon » de Voiles et Voiliers est en kiosque ce mercredi 23 novembre

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Découvrir l’essentiel des voiliers disponibles sur le marché français.

Voilà ce que vous propose la rédaction de Voiles et Voiliers, avec un dossier de 124 pages passant en revue la production de 177 chantiers.

De quoi potasser avant d’arpenter les allées du salon Nautic, qui aura lieu du 3 au 10 décembre à Paris.

Également au sommaire : six reportages d’exception qui vous mèneront de Saint-Tropez au Groenland, en passant par le Nord-Ouest du Canada et l’Irlande.

La couverture et le sommaire du numéro 622 de Voiles et Voiliers. | STUDIO BORLENGHI/NAGALAQA/GILLES MARTIN-RAGET/TOR JOHNSON

Voiles et Voiliers. Publié le 23/11/2022 à 07h31

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Le numéro « spécial salon » de Voiles et Voiliers est en kiosque ce mercredi 23 novembre (ouest-france.fr)

Le mois de décembre arrive, avec un rendez-vous incontournable pour les passionnés de voile : le Nautic de Paris, qui aura lieu du 3 au 10 décembre porte de Versailles, à Paris.

L’occasion pour la rédaction de passer en revue l’essentiel de la production des voiliers disponibles sur le marché français.

Mais nous n’oublions pas de vouloir rêver et faire rêver, avec six reportages exceptionnels et des photos qui en mettent plein les mirettes.

Hommage à Mike Birch, « marin d’une autre planète »

Vainqueur de la première Route du Rhum en 1978, Mike Birch s’est éteint dans la nuit du 25 au 26 octobre dans sa maison de Brec’h, dans le Morbihan.

Membre de l’équipe de Voiles et Voiliers depuis 1971, Christian Février, qui avait été l’un des premiers journalistes à voir en lui un marin d’exception, rend un hommage émouvant à celui qui était depuis devenu son ami.

Un portrait intimiste du Canadien qui, avant de se lancer dans la voile, avait été mineur, ouvrier dans le pétrole, mécanicien et cow-boy.

Un véritable aventurier et un gentleman d’une grande discrétion.

Mike Birch à son arrivée à Newport en 1976, après être arrivé deuxième à la transat anglaise (Ostar), en 1976. Keith Taylor, coll. Ch. Février | KEITH TAYLOR

Dossier spécial Nautic 2022

Rendez-vous incontournable de la communauté nautique, le salon parisien aura lieu du 3 au 10 décembre porte de Versailles, à Paris.

Comme chaque année, la rédaction de Voiles et Voiliers vous propose un panorama des gammes disponibles sur le marché français.

Dériveurs, monocoques, multicoques… Si nous ne prétendons pas à la plus totale exhaustivité, il y a dans ces 124 pages (et la bagatelle de 177 chantiers recensés) quelque chose qui en approche – et de quoi satisfaire les lecteurs à la recherche de leur prochain bateau.

Des sympathiques canotes d’un chantier finistérien aux luxueux voiliers de Y-Yachts ou de Nautor, sans bien sûr oublier toutes les gammes abordables pour les budgets plus modestes, retrouvez les nouveautés 2023 et nos coups de cœur.

L’Ice 62. L’un des plus beaux – et des plus grands – voiliers de série sur lequel nous avons eu la chance de naviguer en 2022. Ici au large de Port-Ginesta, au Sud de Barcelone. | ANDREAS LINDLAHR

Six reportages d’exception

Comme chaque année, ce numéro double apporte aussi sa part de rêve, avec des récits et des reportages aux images époustouflantes.

Babouch’ty (en arrière-plan, à gauche) et les trois membres de l’expédition polaire. | NAGALAQA

Archipel canadien : exploration de l’extrême en Arctique

On vous avait déjà parlé de Babouch’ty , cet étonnant catamaran-char à glace conçu par Sébastien Roubinet pour explorer l’Arctique.

Après avoir relié le Spitzberg via le pôle Nord en partant de l’Alaska (lire le n° 576 de Voiles et Voiliers, publié en février 2019), Sébastien a monté en 2022 une nouvelle expédition baptisée Nagalaqa.

Cette fois-ci accompagné d’Éric André et de Jimmy Héry, il est allé explorer l’archipel canadien situé à l’extrême Nord du continent américain pour rejoindre le Groenland.

Un parcours hallucinant de 3 500 km sur l’eau ou la glace, dans des contrées souvent totalement vierges de présence humaine, où l’on ne croise que des ours, des loups, des caribous, des baleines ou des bélougas.

Frissons garantis.

La grande goélette Naema dans la brise, un spectacle grandiose que le public peut admirer depuis les rivages du golfe de Saint-Tropez, les départs et les arrivées ayant lieu juste devant le môle Jean-Réveille, qui protège le célèbre port provençal. | GILLES MARTIN-RAGET

Les voiles de Saint-Tropez, une régate de classe mondiale

La 24^e édition des « Voiles », qui se tenait du 24 au 8 octobre dans le célèbre port varois, a vu s’affronter 226 concurrents, parmi lesquels 44 maxis, un nombre record.

Photographe dont la réputation n’est plus à faire et fin connaisseur de l’événement, Gilles Martin-Raget est allé mitrailler ces bateaux de rêve pendant quinze jours.

Les régates tropéziennes ont prouvé qu’elles faisaient partie des plus belles manifestations de ce type au monde. Un mistral plus que généreux a donné le tempo à plusieurs reprises pour les « petits » modernes et les  classiques durant la première semaine.

Les maxis ont dû se contenter de vents plus faibles mais la qualité des équipages et leur niveau de performance leur ont permis de régater quand même. Un spectacle somptueux à découvrir dans ce portfolio de huit pages.

Le plan Juan K. possède une quille basculante, deux safrans et un « canard » en avant de la quille. | CARLO BORLENGHI/NAUTOR

ClubSwan 80, un cygne de folie !

À l’occasion de la Maxi Yacht Rolex Cup à Porto Cervo, nous avons eu le privilège d’être invités à bord du dernier bijou de Nautor, My Song, un ClubSwan 80 dessiné par l’architecte franco-argentin Juan Kouyoumdjian et construit en Italie par le chantier Persico.

Les chiffres sont littéralement superlatifs : 24,70 mètres de long, un déplacement de 19,2 tonnes, une surface de voile au près de 447 m², et au portant de 1 000 m²…

En régate, il faut 18 marins pour le manœuvrer. Un voilier de course-croisière exceptionnellement racé à ne pas mettre entre toutes les mains.

De toute façon, il est totalement inabordable pour le commun des mortels.

Eskimo, un voilier océanique qui a inspiré en tout temps confiance à la jeune navigatrice franco-canadienne. | CLAIRE VALADE

Du Cap aux Açores, 6 000 milles en solo

Elle n’a pas encore 25 ans et vient pourtant d’accomplir en solitaire une remontée de l’Atlantique entre l’Afrique du Sud et les Açores.

La Franco-Canadienne Claire Valade a racheté au mois de février un bon vieux Dreadnought de 32 pieds avant de se lancer dans un périple qui aura duré plus de deux mois.

Elle nous raconte ici la vie en solo à bord de ce robuste voilier, avec ses moments de grâce et de découragement.

Dès que le vent monte, la « gentille balade » peut se transformer en bagarre, sans courbettes ni concessions, à bord des Galway Hookers. | BERNARD HENRY

Les Galway Hookers à la fête

Bateau de pêche à la silhouette facilement reconnaissable, le Galway Hooker est issu de la plus pure tradition de la côte Ouest de l’Irlande.

Longtemps délaissé, il s’offre une nouvelle jeunesse grâce à des passionnés, à l’occasion de régates et lors du festival annuel Cruinniú na Mbád dans le port de Kinvara.

Nous sommes allés en baie de Galway vivre le rassemblement de ces bateaux emblématiques qui ont pourtant failli totalement disparaître.

Et pourtant, qu’ils sont beaux, ces bijoux du patrimoine marin gaélique !

L’île d’Anchorage, près de l’île de Vancouver. Nichée à l’intérieur de l’anse de Klaskino, elle se distingue par ses montagnes escarpées. À la surface de l’eau, on peut voir les ondulations provoquées par les saumons. | TOR JOHNSON

Voyage autour de l’île de Vancouver

Il y a Vancouver, la métropole du Nord-Ouest canadien, célébrée dans le monde entier pour sa qualité de vie.

Et il y a l’île de Vancouver, située juste en face et séparée par le détroit de Géorgie, qui s’ouvre sur le Pacifique.

Abonné aux paysages de rêve – il vit à Hawaï –, le photographe américain Tor Johnson y est allé naviguer l’été dernier à bord de Kāholo, un Jeanneau Sun Odyssey 509.

Dans cette région sauvage, pas besoin d’aller bien loin pour trouver des mouillages nichés dans des sites d’une beauté à couper le souffle.

Entre mer et montagnes, une navigation dans ce labyrinthe d’îles, de criques et de rivières constitue une expérience féerique.

Et bien sûr, retrouvez toutes nos rubriques habituelles (actus course, équipement, voile légère, etc.) dans ce numéro double de 260 pages.

Commandez ici le Voiles et Voiliers de décembre 2022 sur notre boutique en ligne (frais de port gratuits).

Retrouvez le magazine Voiles et Voiliers de décembre en kiosque à partir de ce mercredi 23 novembre.

VOILES ET VOILIERS N° 622 : PRÉSENTATION EN VIDÉO :

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