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Description générée automatiquement Publié le 03/06/2022

Le risque résiduel à l’échelon d’une vie ou en anglais remaining lifetime risk (RLR) n’est rien d’autre qu’une probabilité, celle de développer une maladie ou l’une de ses complications dans le temps qui reste à vivre, à un âge donné.

Dans le domaine de la maladie cardiovasculaire (MCV), le RLR a-t-il diminué au cours des six décennies écoulées ?

C’est bien possible si l’on prend en compte l’immensité des progrès thérapeutiques accomplis, qu’il s’agisse de la pharmacothérapie ou de la cardiologie interventionnelle.

Framingham à trois époques

Une hypothèse qui peut être aisément vérifiée en se référant aux données longitudinales de la célèbre étude de Framingham qui ont été analysées dans le cadre de trois époques : époque 1, 1960-1979 ; époque 2, 1980-1999 et époque 3, 2000-2018.

Le RLR d’un événement inaugural marquant l’entrée dans la MCV cliniquement patente (infarctus du myocarde, décès par maladie coronarienne ou accident vasculaire cérébral) a été estimé à partir de l’âge de 45 ans, un ajustement étant fait en fonction du risque compétitif de décès.

Cette estimation a été réalisée pour les trois époques définies plus haut en tenant compte des facteurs suivants : sexe, indice de masse corporelle (IMC), pression artérielle, cholestérolémie, diabète, tabagisme et score de risque cardiovasculaire de Framingham.

Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – La guerre contre la MCV n’est pas encore gagnée

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