Actualités  –  publiée le 20/02/2023 par Équipe de rédaction Santélog

Alzheimer’s & Dementia

La réduction d'une variante de ce gène pourrait diminuer le risque de maladie d'Alzheimer d'apparition tardive (Visuel Adobe Stock 396751109)

Ces experts de la maladie d’Alzheimer de l’Université de l’Indiana concentrent leurs travaux sur un gène particulier (INPP5D) associé aux cellules immunitaires du cerveau et révèlent, dans la revue Alzheimer’s & Dementia, comment la réduction d’une variante de ce gène pourrait diminuer le risque de maladie d’Alzheimer d’apparition tardive.

Alors que la prévalence de la maladie, en forte hausse, pourrait dépasser les 150 millions de cas en 2050, qu’il n’existe à ce jour aucun traitement curatif, la piste d’une atténuation de la fonction de l’INPP5D, qui permet la réduction de l’amyloïde toxique, ne doit donc pas être négligée.

L’équipe dirigée par Adrian Oblak, professeur de radiologie et d’imagerie se concentre ainsi sur la fonction de INPP5D, un gène spécifique de la microglie déjà suspecté d’augmenter le risque de maladie d’Alzheimer tardive.

Les microglies sont les cellules immunitaires du cerveau et plusieurs gènes microgliaux ont été associés à la neurodégénérescence.

Des niveaux élevés d’INPP5D corrélés au dépôt de plaque amyloïde

De précédentes recherches de la même équipe avaient révélé que des niveaux élevés d’INPP5D dans des modèles de laboratoire de la maladie d’Alzheimer entraînaient une augmentation du dépôt de plaque amyloïde.

Les scientifiques ont donc voulu vérifier si la réduction de l’expression de INPP5D pourrait freiner la pathogenèse de la maladie.

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